Le scandale des écoutes de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA) ne cesse d’agiter l’europe, depuis les premières révélations dans la presse, fin juin, des documents fournis par Edward Snowden.
Le Président Français, François Hollande, devait aborder le sujet lors d’une réunion des chefs d’État et de gouvernement.
Les éléments récemment publiés par le quotidien français Le Monde décortiquent avec précision le système de surveillance des communications mis en œuvre par le gouvernement américain pour espionner massivement la France.
Ils révèlent que non seulement des personnes soupçonnées de terrorisme ont été l’objet d’interceptions téléphoniques, mais aussi des personnels politiques, de l’administration ou du monde des affaires.
L’Allemagne n’a pas été plus épargnée.
La chancellerie a ainsi déclaré cette semaine que:
« le gouvernement fédéral a obtenu des informations affirmant que le téléphone portable de la chancelière pourrait être surveillé par les services américains »,
« Le comportement des États-Unis est inacceptable »
Notre rédaction, a longuement compulsé les documents « Snowden », et mis au jour des informations extrêmement préoccupantes qui ont immédiatement suscité des réactions du gouvernement.
« Je suis profondément choqué » a déclaré le Prince François II, suivi par un « c’est tout à fait inacceptable » de Joël Ier.
Le Conseil des Neuf a pour sa part conclu cette salve d’indignations par sa « profonde réprobation », alors qu’il apparait qu’aucune surveillance n’aurait été diligentée par la NSA à l’encontre de la Tostaquie ou de son gouvernement.
Une marque de mépris inacceptable
Comment expliquer qu’en 2013, la Tostaquie puisse encore être ignorée par les services de renseignements américains alors qu’elle multiplie les efforts pour prendre toute sa place dans la communauté internationale ?
Il s’agit incontestablement d’une forme de mépris qui ne saurait être laissée sans réaction de la part de notre gouvernement.
Le Conseil des Neuf a d’ores et déjà annoncé son intention de se réunir dans le courant de la semaine prochaine afin d’évoquer la rupture des relations économiques entre la Tostaquie et les États-Unis.